Noch ein Bier? Klar!
Traumatisme de ma germanisation: je suis désormais une buveuse de bière. Et pousse le bide qui va avec. D'un côté, c'était joué d'avance; quand je regarde Scrubs ou les Simpsons la fatalité est me guette: tous les quarts d'heures, publicité. Dont un certain nombre vantant cette boisson délicieuse. Et avec Til Schweiger, groar. Et faut bien avouer qu'en plus, mon cher et tendre m'y a un peu poussé. Déjà que le fait que je ne sois pas une mangeuse de saucisse lui brise le cœur... Sont forts, ces germains. [Et ça fait déjà un moment que je me suis mise au p'tit déj' fromager].
Et là, je suis proche du suicide émotionnel: Pourquoi la bière en France est-elle aussi mauvaise? Que vais-je devenir, dans deux mois? Oui, quel est mon avenir dans ce pays où l'écrasante majorité des filles/femmes ignorent qui est Til Schweiger? Puis-je vivre sans Schmidt et Pocher? Vais-je errer, tel un fantôme, au milieu de ces gens qui ignorent à quelle heure, quel jour et sur quelle chaine on peut voir le Sportschau? Pire même, au milieu de tous ces gens qui ignorent ce que signifie Sportschau! [La bière et mes antécédants devraient vous donner un indice]. Dieu, si tu existes, réponds-moi.
PS: dieu, je veux ce sac pour mon anniversaire