Just like me they long to be close to you.

En fait, j'ai toujours pas reçu mes robes, même si ce n'est pas une raison valable pour être triste, surtout qu'il fait soleil. SAUF QUE, c'est justement à cause dudit soleil que leur absence se fait horriblement sentir, par un besoin totalement primaire de mettre mes gambettes à l'air.

Mais pas de panique, je ne suis pas triste, juste noyée sous le travail (entre de la compta, un exposé d'allemand, et mon besoin flagrant d'utiliser plus de mots de liaison dans mes comptes-rendus d'anglais, y a encore une montagne de travail qui me nargue chaque soir). Alors je respire un grand coup, j'y plonge la tête la première, je pense à peine à m'acheter de nouvelles robes (d'ailleurs, j'vais envoyer un e-mail à Reko pour leur exprimer mon désarroi, et ce dès mon problème de mots de liaisons résolu) et je bénis mon coup de téléphone reçu ce matin même ; j'ai ENFIN décroché un entretien pour mon stage ! Eh oui, comme une grande. Bon, ça se trouve je vais me faire jeter comme une malpropre, mais en fait je crois que j'avais juste besoin de ça pour ne plus broyer de noir à la seule pensée de mon incertain avenir.

Et puis faut pas le dire, parce que ça porte malheur à ce qu'il paraît, mais j'ai l'impression d'avoir débloqué une situation relationnelle plutôt lointaine ces derniers temps, alors je suis comme une petite fille qui va au parc une barbe à papa à la main, si vous saisissez le concept. Une petite fille qui a fait un goûter allemand ce matin à l'école, et elle était un peu émue, parce que mine de rien sa classe et ses profs vont lui manquer, quand dans une semaine les cours (et exams de contrôle continu) seront terminés.

Comments

[gros nuages]

Bon courage, bonne continuation, je repasserais...